Tout ce que l’on vient de voir jusqu’ici est une révolution à la fois en termes de capabilité stratégique (c’est-à-dire la capacité à produire vite, bien et pour un coût raisonnable) et d’innovation – car le remplacement des organes fatigués par des neufs, quand il sera pleinement atteint et disponible, changera nos civilisations en profondeur.
Nous n’y sommes pas encore, c’est précisément pour cette raison que je vous écris ce rapport : c’est maintenant que le potentiel de croissance est au maximum… pas quand nous y serons déjà.
Mais la santé est loin d’être le seul domaine où la 3DI va bouleverser nos usages…
En fait, elle va nous aider à dépasser une des dernières limites de l’humanité, à savoir la conquête spatiale.
Le plan 3DI de la NASA pour coloniser la lune
Un des objectifs prioritaires de la NASA, comme vous le savez peut-être, est de coloniser la lune.
Outre la portée scientifique cruciale d’un tel projet, coloniser la lune permettrait :
- De perfectionner nos techniques d’autonomie en vue de coloniser Mars
- D’extraire divers minerais dont l’humanité a besoin : silicium, bauxite, fer, aluminium, titane…
- De produire de l’énergie différemment, de mener des expériences impensables sur Terre
- …
Si tous les pays les plus développés sont pourvus d’un programme lunaire, ce n’est pas un hasard : il y a d’énormes enjeux autour de la colonisation lunaire.
Et jusqu’à présent, notre limite était celle de l’envoi de matériaux sur la lune… Car pour construire une base, il faut du matériel.
Or, le coût d’expédition de matériel dans l’espace est horriblement cher : entre 1500 et 100 000$ le kilo selon le mode d’expédition choisi.
Autant vous dire que pour charpenter une petite base lunaire, la somme s’élève probablement à plusieurs millions de dollars…
Et c’est là qu’intervient la 3DI.
Dans le cadre de son programme Artemis, la NASA a trouvé ce qui semble être LA solution pour construire des bases lunaires solides et peu coûteuses.
Au lieu d’envoyer des matériaux, elle prévoit d’envoyer des imprimantes 3D dirigeables à distance, capables de construire des bases lunaires à partir de régolithe, la poussière qu’on trouve à la surface de la lune.
Bien sûr, ce projet nécessite le développement de machines ultra-précises capables de récolter et transformer le matériau pour l’exploiter, avec des fonctionnalités comme la pulsation infrarouge ou l’utilisation de micro-ondes et de lasers… ainsi que la conception de logiciels de pointe pour la modélisation 3D.
Autant d’opportunités en or pour les 5 sociétés que je vais vous présenter, et dont la croissance est évaluée, en moyenne, à +900% d’ici moins de trois ans… Mais j’y reviendrai.
D’abord, j’aimerais vous montrer comment, avant les bases lunaires, la 3DI révolutionne l’aérospatiale.
Comment la 3DI va envoyer Elon Musk dans l’espace
Avec sa société SpaceX, Elon Musk tente depuis plusieurs années de devenir un acteur incontournable de l’aérospatiale.
L’entreprise est l’un des deux seuls prestataires privés de la NASA, notamment dans le domaine du transport de fret vers la Station spatiale internationale… en parallèle de son activité principale, la construction de fusées, moteurs et lanceurs.
Or, SpaceX innove très fort dans ce domaine.
Ses vaisseaux emblématiques, Dragon et Crew Dragon, ont la particularité d’être propulsés par les moteurs Drago, entièrement imprimés en 3D.
Comme pour les autres exemples que l’on a vus plus haut, l’impression 3D industrielle écrase les coûts et le temps de fabrication des moteurs de fusée.
Mais pas seulement.
En réalité, la 3DI offre d’autres avantages, utiles surtout dans l’aéronautique, le spatial et la défense.
Ainsi, les moteurs Draco sont faits avec un matériau qui n’est exploitable que par des méthodes d’impression 3DI, le superalliage Inconel, qui offre une résistance et une ductilité (capacité à se tordre sans casser) supérieures aux méthodes traditionnelles.
Ce n’est d’ailleurs pas un cas isolé : les parties les plus sensibles des turbines des avions Boeing 777X, ainsi que des nouvelles générations de drones sont entièrement imprimées en 3D.
Si vous vous demandez pourquoi, c’est simple : l’impression 3D est capable de façonner d’un seul tenant des objets qui nécessitaient jusqu’alors une multitude de pièces… ce qui augmente leur résistance et permet d’utiliser un seul et même matériau, choisi en fonction de ses caractéristiques et de l’usage qui en sera fait.
En résumé : l’impression 3D simplifie drastiquement une infinité de problèmes d’ingénierie, ouvre le champ des possible dans des centaines de secteurs, et pourrait mettre un terme à la plupart des problèmes logistiques qui nous guettent.
À ce stade, vous avez compris que la 3DI est la « machine à vapeur » du XXIème siècle.
Elle signe la fin de l’intervention humaine sur les lignes de montage, la relocalisation des industries dans les pays développés, ouvre des brèches hallucinantes sur les marchés de l’immobilier, de la santé, de l’aéronautique, du spatial, de la défense…
…Mais plus largement, de toute l’industrie manufacturière.
Car pour ne citer qu’eux, Audi, Tesla, BMW, Ford, General Motors et Toyota se sont récemment mis massivement à l’impression 3D.
Mais vous vous demandez sûrement comment investir pour profiter de cette « 4ème Révolution Industrielle » au maximum – et quel retour vous pouvez espérer.
Pas d’inquiétude : je vous présente tout de suite la solution identifiée par le groupe de recherche américain avec lequel je travaille.
Mais d’abord, un mot sur les perspectives de croissance du secteur.
Un terrain de jeu à 62 000 milliards de dollars
Le premier point à retenir concernant la 3D industrielle, c’est qu’elle ne concerne pas des secteurs isolés, mais de très grands ensembles – des pans entiers de l’économie.
Ainsi, elle va transformer en profondeur trois secteurs titanesques :
- L’industrie manufacturière (alimentaire, transformation de matériaux, chimie, pharmacie, automobile, métallurgie, équipements…) qui pèse 35 000 milliards de dollars annuels
- Le secteur de l’immobilier et de la construction, qui pèse 15 000 milliards de dollars annuels
- Le secteur de la vente au détail, qui pèse 12 000 milliards de dollars annuels
C’est donc un terrain de jeu immense qui s’offre à l’impression 3D industrielle… dans lequel elle est déjà en train de s’immiscer.
Pourtant, le secteur de l’impression 3D industrielle lui-même est encore extrêmement abordable : il pèse 12 milliards de dollars, à peine…
Mais vous vous en doutez : c’est temporaire. En fait, selon le puissant fonds technologique ARK Invest, dirigé par Cathie Wood, le secteur de la 3DI va croître d’en moyenne 60% par an entre 2020 et 2030… soit une augmentation de 6’775%.
À plus court terme McKinsey, le géant du conseil, voit le secteur de la 3DI dépasser les 900% de croissance avant 2025 !
Cela représente une multiplication par 10 de la valeur du secteur.
Et bien sûr, cette hypercroissance ne sera pas équitablement partagée entre toutes les entreprises du domaine de l’impression 3D industrielle : certaines vont exploser, d’autres péricliteront…
C’est pourquoi le groupe de recherche américain Stansberry, avec lequel je travaille, vient de sortir un dossier d’analyse contenant les 5 entreprises les plus prometteuses dans le domaine de l’impression 3D industrielle.
Je vous les présente maintenant.
Les 5 pépites de la Révolution 3DI
Entreprise #1 – La mue d’un géant de l’IA
L’entreprise #1 est une entreprise de logiciels qui existe depuis 40 ans, et qu’on connaît surtout pour son excellence dans le domaine ultra-compétitif de l’Intelligence Artificielle…
À première vue, rien à voir avec la 3DI. Sauf que depuis plusieurs années, cette entreprise s’est lancée avant les autres sur le marché des logiciels de modélisation 3D, qui sont la “première moitié” de la technologie 3DI (la seconde étant les machines elles-mêmes).
Or, ces logiciels sont la partie la plus rentable de l’écosystème 3DI, surtout pour cette entreprise qui a pris une avance considérable sur les autres, et utilise son expertise en IA pour améliorer ses logiciels 3D.
Par ailleurs, le modèle économique de l’entreprise change aussi : elle s’est mis à vendre des abonnements à ses logiciels plutôt que des achats en une fois, ce qui devrait faire exploser sa rentabilité à long-terme… D’ailleurs, son CA devrait doubler entre 2020 et 2024, tout comme son bénéfice par action, ce qui la rend extrêmement intéressante aux yeux des investisseurs.
Traduction : il n’y a pas de temps à perdre.
Entreprise #2 – Un fleuron français INCONTOURNABLE dans votre portefeuille
Vous connaissez sans doute l’entreprise #2… car c’est un fleuron industriel français, ce qui signifie d’ailleurs que son action est éligible au PEA. Ce que vous ignorez sûrement, par contre, c’est qu’elle est en train de se construire une place de leader dans la révolution 3DI.
En effet, ses logiciels de modélisation 3D sont très précieux, car ultra-spécifiques : c’est dans la construction de maisons par impression 3D industrielle qu’ils excellent, un marché gigantesque où la concurrence est quasi-inexistante.
Cette fierté industrielle française nourrit le projet extrêmement ambitieux de créer des “guichets” d’impression 3D aux quatre coins du monde… et donc de provoquer l’adoption de masse pour en tirer un maximum de bénéfices.
Enfin, il faut aussi noter que le cours actuel de l’action est ultra abordable : la grosse correction de début d’année lui a fait perdre quasiment 30% alors que ses résultats financiers sont impeccables… Les investisseurs parmi vous savent que la faiblesse temporaire d’un gagnant à long terme est une fantastique opportunité d’achat.
Entreprise #3 – La nouvelle “usine du monde”… à moins d’1 milliards de dollars !
Cette troisième entreprise est une véritable pépite. Actuellement, elle vaut à peine 1 milliard de dollars, ce qui pour une entreprise du NASDAQ est très faible…
Ce qui signifie que son potentiel de croissance est absolument dément. D’autant qu’elle a de sérieux atouts pour devenir une nouvelle “usine du monde” capable d’imprimer pratiquement tout ce qui existe à la demande.
Vous vous souvenez quand j’ai dit que ce que la Chine avait fait à l’Occident (absorber ses industries), la 3DI allait le faire à la Chine ?
C’est exactement le projet de cette entreprise… qui est active sur tous les fronts de la 3DI : elle met à disposition ses logiciels, ses services d’impression 3D industrielle, et propose des services tout compris de production 3D. À ce titre, elle participe à l’adoption massive de la 3DI pour de nombreuses entreprises qui veulent s’y mettre sans perdre de temps.
Aujourd’hui, c’est elle qui fabrique les parties les plus sensibles des turbines des Boeings 777X, et elle s’est récemment associée avec une des entreprises leader dans le développement des voitures volantes… En plus de clients plus “traditionnels” dans l’aéronautique, l’automobile ou la santé.
Au-delà de ça, son véritable trésor de guerre, ce sont ses 100 brevets (et 150 autres en attente) sur des technologies stratégiques, qui vaudront sûrement très cher d’ici quelques années…
Entreprise #4 – Des fusées 100% imprimées en 3DI
L’entreprise #4 a réussi l’exploit d’être la première entreprise à fabriquer une fusée entière en impression 3D industrielle… et à la faire fonctionner. C’est elle qui détient quelques clés stratégiques pour révolutionner la conquête spatiale…
Elle est notamment très en avance sur une technique d’impression 3D incontournable dans l’aérospatiale : la fusion par faisceaux d’électrons.
Cette maîtrise technique lui permet de concevoir et lancer des fusées pour beaucoup, beaucoup moins cher que la concurrence…
Et donc de révolutionner le marché sur lequel elle s’est positionnée, l’envoi de satellites en orbite.
Aujourd’hui, elle est capable de lancer 98% des satellites prévus à l’envoi d’ici 2029, et peut le faire moins cher que n’importe qui : à votre avis, combien est-ce que ça vaut ?
Côté projections, son CA d’environ 60 millions de dollars en 2021 devrait dépasser le milliard de dollars d’ici moins de 5 ans… ce qui en dit long sur le potentiel de son cours de bourse.
Entreprise #5 : Le UBER de l’impression 3D industrielle
La cinquième entreprise fait avec la 3DI ce qu’Uber a fait aux taxis, ou ce qu’Amazon a fait à la vente au détail…
Elle est en train de devenir la première place de marché à mettre en relation les usines d’impression 3D industrielle avec les entreprises qui souhaitent se mettre à la 3DI…
Elle a déjà pour clients des géants comme BMW, General Electric, Dell et même la NASA… parmi plus de 40 000 clients professionnels, qui peuvent recourir à plus de 5000 usines d’impression enregistrées sur la place de marché.
Ce Uber du 3DI est en train de croître à une vitesse folle : de 80 millions de dollars de CA à plus de 200 entre 2020 et 2021, elle devrait dépasser les 500 millions de chiffre d’affaires avant 2023… Alors qu’elle vaut à peine plus de 2 milliards !
Là aussi, il n’y a pas de temps à perdre : elle vaudra sans doute bientôt beaucoup plus.
Notre stratégie pour des gains massifs dans la 3D industrielle
Ces 5 entreprises ont été identifiées par le groupe de recherche financière Stansberry Research, basé aux États-Unis et fondé en 1999.
Il compte dans ses rangs des analystes de très haut vol spécialisés dans l’investissement technologique.
La stratégie qu’ils préconisent pour espérer des gains massifs dans la 3DI est celle de l’investissement asymétrique, qu’on croise régulièrement dans la Tech.
Pour rappel, un investissement asymétrique est un investissement où vous avez beaucoup plus à gagner qu’à perdre.
Si vous mettez 100€ et que vous pouvez gagner 1000, dans le pire des cas vous perdez 100€… et dans le meilleur, vous multipliez votre investissement par 10.
Cela permet de réduire considérablement le risque : multiplier les mises asymétriques permet, même avec une minorité de paris réussis, de surcompenser largement vos pertes éventuelles.
Ici, c’est un investissement asymétrique ultra-avantageux que nous offre la révolution 3DI : la croissance du secteur est évaluée à +900% d’ici 2025… donc les opportunités de faire “x10” (et même plus) sont bien réelles !
Imaginons que les analystes du groupe Stansberry aient raison sur une seule entreprise parmi les 5 qu’ils ont identifiées, et que vous perdiez 90% sur toutes les autres… Voici ce qui se passerait avec 500€ investis par action :
- Action 1 : -90% (-450€)
- Action 2 : -90% (-450€)
- Action 3 : -90% (-450€)
- Action 4 : -90% (-450€)
- Action 5 : +900% (+4500€)
Dans ce scénario, 2500€ investis se transforment en 5200€…
Vous avez multiplié votre investissement par plus de 2, alors que vous avez eu tort 4 fois sur 5.
J’ai volontairement pris un scénario catastrophe pour que vous constatiez à quel point la stratégie d’investissement asymétrique est profitable.
Mais une option plus réaliste, compte tenu des performances du groupe Stansberry, est que vous ayez raison 3 ou 4 fois sur 5… et que les actions perdantes ne descendent pas jusqu’à -90%, car on ne laisse jamais courir nos pertes si bas.
Dans un cas de figure plus standard, voici un exemple de ce qui pourrait se passer :
- Action 1 : -20% (-100€)
- Action 2 : +300% (+1500€)
- Action 3 : -40% (-200€)
- Action 4 : +500% (+2500€)
- Action 5 : +900% (+4500€)
Ici, 2500€ investis se transforment en 10 700€ (+328%) alors que vous n’avez eu raison “que” 3 fois sur 5…
Avec une seule entreprise qui fait x10.
Or, vous savez que x10, c’est la croissance attendue de tout le secteur de la 3DI… ce qui signifie que certaines entreprises, les plus prometteuses, iront bien au-delà.
Et il est tout à fait probable que ces entreprises comptent parmi les 5 identifiées par le groupe Stansberry.
Recevez IMMÉDIATEMENT votre rapport 3DI : la 4ème Révolution Industrielle !