5 actions pour sortir plus riche de la crise la plus violente du 21ème siècle

 

• Les valeurs technologiques tombent comme des mouches…

• L’inflation ronge vos économies en euros…

• L’UE fait la guerre aux cryptomonnaies…

 

Au même moment, certaines entreprises affichent une santé insolente.

Elles prospèrent quand les marchés s’effondrent, et chaque crise les renforce.

Selon les analystes, ces entreprises ne sont qu’au tout début d’un cycle de croissance massif et durable, appelé « Supercycle », et qui peut durer 10 ans.

Le dernier s’est étendu de 1999 à 2008… et il a créé des millionnaires à la pelle.

Aujourd’hui, cela pourrait être votre tour.

 

 

Chère lectrice, cher lecteur,

Connaissez-vous l’expression « tomber de Charybde en Scylla » ?

Elle se réfère à deux monstres marins de la mythologie grecque, installés de part et d’autre du détroit de Messine.

Charybde est un gouffre sans fond qui avale les navires voguant trop près de son bord.

Scylla est un serpent à six têtes qui dévore les marins qu’il peut atteindre.

Dans l’Odyssée, Ulysse doit traverser le détroit et il lui faut choisir à quel monstre se frotter.

Il finit par choisir Scylla, car il vaut mieux perdre quelques hommes que faire couler le navire…

Aujourd’hui, « tomber de Charybde en Scylla » signifie « éviter un piège pour tomber dans un autre ».

Si je vous parle de ça, c’est parce que nous sommes exactement dans cette situation.

Le contexte économique est peuplé de monstres qui nous enserrent dans un étau...

D’un côté vous avez Charybde, les marchés financiers en chute libre, et de l’autre Scylla, l’inflation rampante qui dévore votre argent.

Peu importe la décision que vous prendrez, aller sur les marchés ou rester dans les banques : vous y perdrez des plumes.

Du moins, c’est ce qu’on pourrait croire…

Mais contrairement à Ulysse qui a dû sacrifier une partie de ses hommes, nous avons la chance d’avoir une planche de salut dans cette crise.

Dans cette lettre, je vais vous expliquer quels sont les pièges de la situation économique actuelle, pourquoi les marchés s’effondrent, et comment vous pourriez protéger votre argent et même prospérer alors que le monde entier est en crise.

Mais d’abord, mettons-nous d’accord sur un point :

Il n’y a plus de doute : c’est un krach, et la crise va durer

Depuis le 1er janvier 2022 :

Ce n’est pas une correction temporaire sur un secteur précis.

Les marchés en général chutent lourdement, et les investisseurs vendent en cascade.

Bien sûr, vous savez d’où ça vient. Et vous saviez que ça allait arriver.

D’abord, nous avons eu le covid.

Une maladie nouvelle, mal connue, qui a conduit nos dirigeants à « fermer le monde », interrompre la production et ralentir l’activité.

Pour éviter que les entreprises ne mettent la clé sous la porte, les gouvernements ont voté de gigantesques plans de relance, où l’on a imprimé des milliards d’euros à injecter dans l’économie…

Mais cet argent « magique » fait perdre de sa valeur à vos économies, car il augmente sans raison la masse monétaire en circulation. C’est ce qu’on appelle l’inflation.

Heureusement, la reprise économique et les prévisions de croissance devaient « absorber » cette inflation…

Mais la guerre a éclaté en Ukraine.

Les économies d’Occident ont voté des sanctions drastiques pour arrêter Poutine. Et le prix des matières premières a flambé… car isoler la Russie, c’est aussi se priver du :

Bien entendu, cette guerre et les pénuries qu’elle implique ont pesé sur les prévisions de croissance…

Selon la Banque de France, la croissance française pour 2022, estimée avant la guerre à presque 4%, sera finalement inférieure à 2,8%... et en 2023, elle devrait à peine dépasser les 1%.

Or, la combinaison d’une faible croissance avec une forte inflation a un nom : la stagflation.

Et la stagflation est sans doute la pire situation économique possible : l’argent perd de sa valeur, les économies ne croissent plus et le chômage explose.

Pas étonnant, dans ce contexte, de voir les marchés s’effondrer comme ils le font actuellement.

Covid + guerre = stagflation

En résumé : le covid a fait monter l’inflation, la guerre et les sanctions ont plombé la croissance. Nous sommes en stagflation.

Conséquence immédiate, les marchés s’effondrent.

Pourtant, sortir votre argent des marchés pour le remettre à la banque n’est pas non plus souhaitable : l’inflation ronge votre épargne et lui fait perdre de sa valeur.

Elle a dépassé les 8% sur les 12 derniers mois, à la fois en Europe et aux USA.

Bien sûr, cela ne va pas s’arrêter… et avec la BCE qui tarde à remonter ses taux d’intérêt pour endiguer le phénomène, nous sommes probablement partis pour plusieurs années d’inflation.

Pour rappel, une inflation à 8% pendant 4 ans, cela fait perdre 28% à vos économies.

1000€ n’en valent plus que 717, alors que vous n’avez pris aucun risque sur les marchés.

En clair, peu importe si vous êtes investisseur sur les marchés ou épargnant dans les banques : la stagflation appauvrit tout le monde…

Ou presque.

Pendant que tout le monde pleure, une poignée d’investisseurs se frotte les mains

Au début de ce message, je vous ai parlé de Charybde et Scylla.

Je vous ai dit que contrairement à Ulysse, qui avait dû sacrifier ses hommes, nous avions une planche de salut.

Il existe un secteur qui connaît une forme insolente…

En fait, il était déjà en train de décoller avant que la guerre n’éclate en Ukraine…

Et celle-ci n’a fait qu’accélérer son explosion.

Ce secteur est celui des matières premières.

Pour représenter la croissance globale du secteur, jetons un œil à l’indice de référence Thomson Reuters CRB sur les 12 derniers mois :

Vous le voyez comme moi : le secteur des matières premières était déjà en croissance, et la guerre en Ukraine n’a agi que comme catalyseur, pas comme déclencheur.

D’ailleurs, si l’on élargit encore un peu la période d’observation, on voit que les matières premières sont en croissance depuis 2020 !

On a donc affaire à une tendance de fond, solide, qui ne dépend pas d’un conflit ni d’un contexte économique récent.

Historiquement, la stagflation est propice à la croissance des matières premières… mais ce que nous avons sous les yeux n’est pas une simple « croissance ».

Il s’agit d’un événement que l’on nomme Supercycle, et qui s’est déjà produit 2 fois dans l’Histoire récente (dans les années 70 et au début du 21ème siècle).

La dernière fois que c’est arrivé, les matières premières ont connu une hypercroissance qui a duré de 1999 et 2008 :

Selon tous les analystes, nous n’en sommes qu’au début d’un nouveau supercycle des matières premières.

Il y a quelques mois, Jeff Curie (le patron de la branche « Commodities Research » chez Goldman Sachs) a déclaré  « Les forces structurelles qui animent l’économie des années 2020 sont les mêmes que celles qui ont déclenché le supercycle des matières premières au début des années 2000 ».

Marko Kolanovic, chef analyste chez JP Morgan Chase, a émis un avis similaire: « Les matières premières semblent reparties pour un supercycle de croissance qui pourrait durer plusieurs années ».

Pour l’économiste Dennis Gartman, le marché haussier sur les matières premières promet même des niveaux « historiques »…

Mais si vous me lisiez déjà en 2021, ce n’est pas nouveau pour vous.

Ce qui arrive maintenant, je l’ai prédit en octobre 2021

En octobre dernier, j’ai engagé ma réputation auprès de mes lecteurs.

J’ai publié une lettre qui n’avait rien à voir avec mes contenus habituels, intitulée « Ma stratégie d’investissement sur les matières premières »

Ce que je disais il y a plusieurs mois est en train de se réaliser en ce moment :

Si je vous montre ça, ce n’est pas pour vous rappeler que j’avais raison – c’est pour vous montrer que c’était prévisible.

Car les 3 conditions préalables à un supercycle des matières premières étaient déjà là en octobre 2021, quand le prix des matières premières était encore loin des sommets actuels :

En résumé : les 3 fondamentaux nécessaires à l’apparition d’un supercycle étaient déjà là.

Et un investisseur (un peu) avisé pouvait les identifier…

Mais depuis, le contexte sanitaire et politique international a accéléré l’apparition du supercycle… et nous voilà à nouveau au début d’une explosion des matières premières :

Supercycle des matières premières : les étoiles sont alignées

Ce que je disais en octobre 2021 est toujours valable : la demande est en hausse, de nouveaux secteurs gourmands en matières premières se développent et la production mondiale a du mal à suivre.

Ce sont les conditions fondamentales à l’apparition d’un supercycle.

Mais ce ne sont pas les seules – et en ce moment, tout le contexte économique et politique est idéal pour les matières premières :

En bref : le prix des matières premières va continuer d’augmenter.

De nombreuses entreprises vont croître dans des proportions qu’on peine à imaginer.

Vous vous en doutez, cela aura aussi des conséquences sur la vie de tous les jours : le prix de l’essence a déjà explosé (2€ à la pompe), suite logique de l’explosion du baril de pétrole au-delà des 120$...

D’ailleurs, comme cette conséquence est la plus visible au quotidien, de nombreux internautes veulent acheter des actions pétrolières.

Le nombre de recherches quotidiennes pour « oil stocks » (actions pétrolières) a décollé sur les moteurs de recherche :

Mais au risque de vous surprendre, je pense qu’acheter maintenant des actions pétrolières n’est pas ce qu’il y a de mieux à faire…

Faut-il acheter des actions pétrolières ?

En fait, l’augmentation des prix du carburant rend particulièrement visible l’effervescence sur le marché pétrolier… mais c’est l’arbre qui cache la forêt

D’abord, le pétrole a déjà beaucoup grimpé.

Même s’il connaît une accalmie ces derniers jours, le baril de Brent est toujours autour de 100 dollars, et les pétrolières en ont profité.

Je ne dis pas que vous arrivez après la bataille, mais si vous investissez aujourd’hui sur des pétrolières, vous n’êtes pas en avance.

Vous connaissez ma position : acheter au plus bas et vendre au plus haut, c’est un fantasme. Les investisseurs sont systématiquement en retard, et les bons investisseurs sont ceux qui arrivent le moins en retard possible.

Le pétrole donc, est une des matières premières qui monte le plus vite et qui se remarque le plus, mais ça n’est clairement pas là qu’il y a les meilleurs gains à faire.

Pour preuve, jetez un œil à ce graphique :

Lors du précédent supercycle (1999-2008), le prix du pétrole a été multiplié par 6 (+ 500%).

Sur la même période, la performance des compagnies pétrolières a eu du mal à suivre :

Alors oui, dépasser 100% est une belle performance… mais gardez à l’esprit que :

Comment encaisser des gains MASSIFS avec ce nouveau supercycle

De 1999 à 2008, donc, le pétrole a fait +500%… et sur la même période :

C’est mieux… Encore que, pour le gaz naturel, c’est assez similaire.

Mais ce n’est pas l’important.

Pendant que le gaz naturel prenait +536%, le leader mondial du gaz naturel Gazprom prenait + 1’142%... soit 10 fois plus que Chevron, alors que pétrole et gaz augmentaient dans des proportions similaires.

C’est ça, qui compte : savoir comment l’augmentation du prix d’une matière première impacte le cours des entreprises qui en vendent.

Et dans le cas du pétrole, on constate que les hausses sont timides par rapport aux 1000% que peuvent régulièrement prendre certaines entreprises de matières premières.

Ainsi, quand le nickel prenait +860%, le groupe Vale qui en est un des plus gros producteurs prenait + 1’780%... vous auriez pu faire x17 sur votre investissement !

Enfin, quand l’uranium prenait +1’066%, l’entreprise canadienne Laramide Resources prenait… + 161’000%.

Cela signifie qu’avec 1000€ investis au bon moment, vous auriez pu gagner 1,6 millions d’euros.

C’est ce genre de gains stratosphériques qu’on recherche dans un supercycle des matières premières.

Et bonne nouvelle : gaz naturel, nickel et uranium font partie des matières premières que je cible dans mon Portefeuille Forteresse !

Portefeuille Forteresse : la stratégie pour protéger votre argent et prospérer pendant la crise

Maintenant que vous savez qu’un supercycle des matières premières est en cours, vous avez compris comment nous allions éviter à la fois Charybde (le krach) et Scylla (l’inflation) :

Nous allons investir dans des matières premières dont le prix devrait mécaniquement continuer à monter pendant plusieurs années…

Ou plus précisément :

Nous allons miser sur des entreprises qui sont les mieux placées pour tirer le profit maximum de la hausse de ces matières premières.

Car comme on l’a vu dans la série d’exemples précédents, une matière première qui fait x2, x3, x4…

C’est souvent l’occasion pour les meilleures entreprises du secteur de faire x5, x10, x30… Jusqu’à x1600, si l’on reprend l’exemple de l’uranium !

C’est un marché profondément asymétrique, avec des potentiels de gains hallucinants.

Toutefois, j’aimerais attirer votre attention sur un point : les matières premières, c’est un monde à part, avec des spécificités que les profanes ont parfois du mal à comprendre.

Ainsi, si le prix du cuivre augmente, il ne suffit pas d’acheter n’importe quelle entreprise dont le revenu est lié au cuivre.

Il faut creuser davantage, trouver les entreprises qui ont des parts dans les bonnes mines de cuivre, qui exploitent la bonne variété de cuivre, qui ont des stocks stratégiques…

En clair : celles qui prendront la plus grosse part du gâteau.

C’est pour cette raison qu’avec toute mon équipe et nos partenaires basés aux États-Unis, nous avons créé le Portefeuille Forteresse.

Le Portefeuille Forteresse est votre meilleure arme pour protéger votre argent pendant la crise… et même en profiter pour sortir plus riche de cette crise, qui s’annonce comme la plus violente du siècle !

Il contient 5 actions d’entreprises positionnés sur les matières premières dont la demande est en train d’exploser… et qui sont les mieux placées pour tirer profit de ce supercycle.

Je vous ai déjà donné un aperçu des secteurs où nous allions investir, je vais à présent vous livrer les détails concernant ces entreprises.

Entreprise #1 : Le nouveau géant du gaz américain

Souvenez-vous : nous avons vu qu’au cours du dernier supercycle, le gaz naturel avait grimpé de +536%... et que dans le même temps, le géant russe Gazprom avait grimpé de + 1’142%.

Ici, nous visons des gains similaires, voire supérieurs… mais pas sur Gazprom, qui comme la plupart des entreprises russes n’est plus disponible à l’achat, et grevé par les sanctions internationales.

Nous allons nous tourner vers un nouveau géant du gaz naturel : les États-Unis. En 2019, les USA sont devenus un exportateur net d’énergie, pour la première fois depuis 1952.

L’explication est simple : depuis 2015, les exportations de gaz naturel américain ont été multipliées par 10.

Cette explosion vient d’une percée technologique, l’essor du gaz naturel liquéfié (GNL), qui permet de transporter le gaz sur des navires sous forme liquide avant de le regazéifier – en clair, de le livrer n’importe où, alors qu’on ne comptait jusque-là que sur les pipelines pour l’amener du lieu de production au lieu de consommation.

En quelques années, les USA sont devenus le plus gros exportateur de gaz naturel liquéfié… alors qu’ils n’en exportaient quasiment pas avant 2015.

Or, avec le développement du marché du GNL aux États-Unis, l’explosion des prix du gaz, les sanctions internationales contre la Russie et l’embargo décrété par Biden… tout est réuni pour que certaines entreprises bien placées explosent avec l’essor du gaz naturel américain.

D’autant que le prix du gaz naturel est lui aussi en train de grimper, mais a encore de la marge avant d’atteindre ses sommets historiques :

Son prix a été multiplié par 4 (+300%) depuis le creux de 2020… mais il a encore le potentiel de grimper de 300 ou 400% supplémentaires dans les années à venir, sans compter que la Russie menace de couper les vannes.

Dans ce contexte, notre entreprise #1 détient tout le parc d’infrastructures pour l’exportation du gaz naturel américain : pipelines, installations de stockage et terminaux pour transformer le gaz naturel en GNL (et inversement).

Presque la moitié du gaz naturel produit aux US, qu’il soit consommé sur place ou exporté, passe par ses infrastructures.

Ses perspectives de croissance sont gigantesques, d’autant qu’il ne s’agit pas d’une micro-capitalisation risquée : elle est déjà rentable, et verse un des meilleurs dividendes du S&P500, avec un rendement de plus de 6%.

En clair : pour nos experts, ce serait de la folie de ne pas miser sur cette entreprise vu le contexte.

Entreprise #2 : Si l’uranium continue de grimper, le prix de cette entreprise va exploser !

Vous vous souvenez de ce que nous avons vu sur l’uranium. Le dernier pic a eu lieu pendant le supercycle 1999-2007, où son prix a été multiplié par 12 :

Et il a suffi que le cours de l’uranium fasse x12 pour qu’une entreprise bien placée sur ce marché fasse… x1600.

Il s’agissait à l’époque de Laramide Resources, une entreprise canadienne, qui avait grimpé de 161’000%...

À l’époque, d’autres entreprises ont cru dans les mêmes proportions : Forsys Metals (+101’900%) et Paladin Energy (+93’000%) ont créé leur lot de millionnaires…

Pour rappel, une croissance de 161’000%, ça transforme votre investissement de 1000€ en 1,6 millions d’euros.

Et aujourd’hui, le scénario semble se reproduire.

Depuis 5 ans, le cours de l’uranium reprend des couleurs… et la tendance s’est accélérée ces derniers mois :

Nous pourrions bientôt assister à un nouveau pic de l’uranium, car les 3 conditions sont réunies.

D’abord, la demande est en forte hausse : au moment où je vous écris, 54 réacteurs nucléaires sont en cours de construction dans le monde… 100 projets supplémentaires ont déjà été approuvés, et 300 sont à l’étude.

La France se lance dans la construction de 6 nouveaux EPR, le Japon rouvre ses centrales, la Chine et l’Inde accélèrent leur programme nucléaire civil et de nouveaux pays s’y mettent, comme la Finlande et les Pays-Bas.

Signe des temps, l’UE a classé le nucléaire comme « énergie verte », ouvrant la porte à des financements facilités…

Ensuite, les stocks stratégiques sont quasiment tous écoulés : le marché secondaire est à sec car depuis 2018, les centrales vident leurs réserves plutôt que de passer de nouvelles commandes.

Enfin, avec la baisse des prix, les producteurs d’uranium ont préféré fermer temporairement leurs mines… et il faudra plusieurs mois voire années pour que la production parvienne enfin à suivre la demande qui a brusquement explosé.

Ainsi, le grand retour du nucléaire fait décoller les prix de l’uranium… alors que les stocks sont épuisés et que la production n’arrive pas à suivre.

Or, l’entreprise #2 de notre Portefeuille Forteresse a un très gros coup à jouer dans ce contexte : elle possède des stocks massifs d’uranium, probablement les plus gros détenus par une entreprise privée…

Avec les difficultés de production actuelles au Kazakhstan, elle est quasiment la seule au monde à pouvoir répondre aux demandes croissantes.

Les autres minières d’uranium auront besoin de temps pour rouvrir leur mines et relancer les productions, qui diminuent chaque année depuis 2017…

La nôtre possède l’équivalent de 9 ans de production annuelle en stock !

Autant vous dire qu’elle a tout pour exploser – sans parler de ses actifs stratégiques de premier plan, à savoir des opérations de raffinage, de production de carburant, et les droits d’exploitation de mines parmi les mieux pourvues en uranium sur Terre.

Entreprise #3 : La pépite des métaux technologiques (cuivre et nickel)

Notre entreprise #3 est intéressante pour (au moins) 2 raisons :

D’abord, concernant son modèle économique, il s’agit d’une société de redevances minières, c’est-à-dire qu’elle possède une participation dans une vingtaine de mines de cuivre et de nickel dans le monde.

En général, il faut prêter de l’argent aux sociétés d’exploitation pour toucher une partie des profits de la mine… mais notre entreprise #3 fait autrement : elle rachète des participations d’autres sociétés, comme les sociétés de prospection qui découvrent les mines.

Ainsi, elle n’a pas à avancer son argent pour des mines dont on ne sait pas ce que donnera l’exploitation… elle peut investir à la chaîne et diversifier ses sources de revenus.

Elle est impliquée dans des projets d’envergure, avec des partenaires prestigieux comme le géant First Quantum Minerals, un de plus gros exploitants de cuivre au monde – et pourtant, son action ne vaut encore presque rien !

Ensuite, le cuivre et le nickel sont à mon sens les matières premières à ne surtout pas négliger pour ce nouveau supercycle… notamment parce qu’ils sont la clé de voûte de la transition énergétique, avec en tête le marché à très fort potentiel des véhicules électriques :

Le marché des véhicules électriques (VE) va prendre le pas, progressivement, sur celui des véhicules à essence. C’est le sens de l’Histoire.

Or, le nickel est indispensable aux véhicules électriques : il permet d’accroître la densité énergétique et la capacité de stockage des batteries lithium. Sans lui, impossible de donner de l’autonomie aux véhicules électriques…

Pour l’instant, 98% de la demande mondiale de nickel vient de son utilisation pour produire de l’acier inoxydable, un marché en hausse stable de 5 à 7% par an.

Mais comme on l’a vu au début de cette lettre, les nouveaux marchés sont une des clés pour faire décoller le prix des matières premières… et c’est le cas ici, car la demande de nickel pour le marché des VE devrait croître de 30% par an d’ici 2030.

Une autre étude parle même d’une hausse de 2700% (x26 !) de la demande en nickel d’ici 2040, juste sur les VE.

Ainsi, toutes les conditions sont réunies pour que le prix du nickel explose… en fait, c’est même déjà fait : le prix du nickel a été multiplié par 2,5 depuis le 1er janvier dernier.

Côté cuivre, il en faut 2 fois plus (50kg) pour construire une voiture électrique plutôt qu’une auto standard, plus 20 kilos pour fabriquer les bornes de recharge des véhicules électriques – autant vous dire que ce nouveau marché est une aubaine.

Par ailleurs, le cuivre est utilisé pour à peu près toutes les installations productrices d’énergies renouvelables, y compris le solaire et l’éolien.

Plusieurs projections s’accordent pour dire qu’il faudrait 6 fois la production annuelle mondiale de cuivre pour sortir du fossile et passer au renouvelable. D’autres secteurs en hausse, comme le logement, continuent de tracter la demande en cuivre.

Dans le même temps, côté offre… on a du mal à suivre.

Des pénuries assez sévères de cuivre sont prévues jusqu’en 2023, dues notamment à la pandémie. Mais au-delà de ça, la production mondiale de cuivre ralentit et devrait être divisée par 2 d’ici 2034.

Les mines de cuivre sont difficiles à exploiter, et l’on n’a pas découvert de nouvelle mine depuis 2015… autant vous dire que la compression offre/demande risque de faire flamber les prix.

Avec cette petite pépite, vous avez dans votre portefeuille une exposition combinée aux deux métaux les plus demandés du siècle.

Entreprise #4 : De l’or, de l’argent, du palladium… et des dividendes !

Impossible de ne pas construire un portefeuille défensif sans miser sur l’or : depuis le début de la pandémie, la réserve de valeur historique de l’humanité s’est enfin réveillée…

Mais la société que nous avons choisie ne se contente pas de vous offrir une exposition à l’or via le streaming, c’est-à-dire un système de redevances analogue à celui de l’entreprise #3.

Elle touche aussi des redevances de mines d’argent, de cobalt et de palladium… Or, le palladium est sous le coup d’un risque accru de pénuries puisque la Russie est le premier producteur mondial…

Il nous a donc semblé bon d’ajouter à notre Portefeuille Forteresse une entreprise qui peut compter sur plus de 24 mines, majoritairement d’or et d’argent, mais une variété de métaux rares qui peuvent eux aussi décoller.

Il y a donc un potentiel de hausse non-négligeable pour cette entreprise, qui est aussi un actif suffisamment défensif pour protéger vos économies de l’inflation – mais ce n’est pas tout.

L’entreprise #4 offre un dividende à 4%, soit 4 fois plus que la moyenne des autres minières d’or… et qui, compte tenu de ses nombreux projets de développement, ne risque pas de décroître :

D’une société qui possédait 2 mines, les fondateurs de l’entreprise (un ex-banquier et un ancien cadre de l’industrie minière) ont monté un empire qui touche les redevances de 24 mines, et peut-être bientôt 36 avec des projets de développement de tous les côtés : c’est le bon moment pour investir dans ce futur leader de l’or et des métaux précieux !

Entreprise #5 : la valeur défensive la plus performante des 57 dernières années

La dernière entreprise du Portefeuille Forteresse est légendaire.

Elle existe depuis 1965… et elle a connu depuis ses débuts une croissance annuelle moyenne de 20%.

Cela signifie que ‘avez 10 000$ investis à l’époque… vous seriez aujourd’hui à la tête d’une fortune de 326 millions de dollars.

C’est le genre d’entreprise dont on achète des actions pour pouvoir les transmettre à ses enfants.

Elle est gérée d’une main de maître par des légendes de l’investissement, et a toujours surperformé face aux marchés en période de crise.

Elle est comme un phare dans la nuit : lors de l’explosion de la bulle Internet aux USA (2002), alors que tout le marché tombait à -50% depuis ses sommets de 2000, seule cette entreprise surnageait avec une performance de +65% sur la même période !

Il faut dire que cette entreprise détient des actifs d’une valeur quasi inestimable :

En clair : c’est peut-être la meilleure action possible pour se « hedger » face au krach…

D’ailleurs, depuis le début de l’année, tout le S&P500 est à -12% de performance… mais cette entreprise, elle, est à +12% depuis le 1er janvier !

Avec ces 5 valeurs, votre argent sera plus en sécurité que sur les marchés de croissance, qui souffrent pour l’instant d’une trop grande volatilité… et vos économies ne seront pas non plus rongées par l’inflation.

Mais gardez bien à l’esprit que ces 5 valeurs ne sont pas juste des véhicules sûrs pour transporter la valeur de votre argent dans le temps : ce sont des investissements avec un énorme potentiel de croissance.

Je vous révèle le nom et code ISIN de ces 5 entreprises dans un dossier unique : le Portefeuille Forteresse

Avec mon équipe et nos partenaires américains, nous avons conçu ce portefeuille comme une réponse à la crise.

Une réponse à tous ces investisseurs qui veulent éviter Charybde (le krach sur les marchés) et Scylla (l’inflation qui dévore leurs économies).

C’est un portefeuille défensif, c’est-à-dire qu’il est là pour protéger votre argent…

Mais c’est surtout un portefeuille qui vise des gains massifs avec le nouveau supercycle des matières premières…

Et dans ce contexte, il n’est pas rare de voir décoller des actions à +1’000%... C’est le genre de performance que nous visons.

Vous comprenez pourquoi les abonnés à ma publication de recherche financière Profits Asymétriques étaient si contents de recevoir ce dossier hors-série…

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Il est aujourd’hui « business angel » et s’est rapidement tourné vers la blockchain pour participer à la montée en puissance du secteur. À cette occasion, il a même monté plusieurs entreprises de minage de Bitcoin et d’Ethereum.

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Les recommandations de Profits Asymétriques explosent tous les standards.

Pour l'année 2020, la performance moyenne du portefeuille a dépassé les +113%.

Ce genre de conseils, ça vaut très cher. Certains services concurrents se vendent à plus de 1000€ par an… et honnêtement, ça les vaut.

Mais vous ne paierez pas ce prix. 

L’Innovations Report américain est détesté par ses concurrents parce qu’il a :

  1. Cassé les prix (il se vend à 200$/an)
  2. Explosé les performances de ses concurrents (performance à +113%)

Nous allons faire la même chose.

Pour rappel, le dossier Portefeuille Forteresse seul vaut 299€, les 3 dossiers Piliers de la Tech 47€/unité…

Mais aujourd’hui, vous pouvez recevoir tout ça, en plus de votre abonnement, et payer beaucoup moins.

Un an d’abonnement à Profits Asymétriques coûte 98€ seulement. 

Ce service a le potentiel de vous faire gagner des milliers, voire des dizaines de milliers d’euros.

Aux États-Unis, de nombreux lecteurs de l’Innovations Report sont devenus millionnaires.

Mais je ne veux pas que le service soit réservé à ceux qui peuvent mettre 1000€ dans un abonnement, donc je vous propose un abonnement à 98€ par an..

Si vous décidez de rester abonné, chaque année supplémentaire coûtera aussi 98€, mais vous n’êtes lié par aucun engagement. Vous arrêtez quand vous voulez.

Qu’en disent les clients ?

Puisque vous recevrez les mêmes recommandations que les clients américains qui reçoivent l’Innovations Report, je vous joins ici quelques témoignages, que vous sachiez à quoi vous attendre :

« J’ai gagné 400 000$ grâce à vos conseils » - Steve W.

« Je ne sais pas comment l’exprimer, mais oui, je suis devenu millionnaire suite à mon abonnement à l’Innovations Report » - Larry K.

« J’ai multiplié mon investissement par 3 en 6 mois environ » - Sage O.

« J’ai transformé 15 000$ en 33 000$ » - Tom S.

Peut-être que bientôt, vous donnerez ce genre de témoignage pour Profits Asymétriques…

Mais dans tous les cas, gardez à l’esprit que vous êtes toujours couvert par notre double garantie.

Vous ne prenez aucun risque : notre DOUBLE garantie vous couvre !

Je suis certain de la qualité de Profits Asymétriques… Mais vous n’êtes pas tenu de me croire sur parole.

C’est pourquoi je vous offre une double garantie imbattable.

D’abord, vous êtes couvert à 100% par notre garantie Satisfait ou Remboursé pendant 30 jours.

En clair : une fois que vous avez rejoint notre service, vous pouvez changer d’avis pendant 30 jours et vous faire intégralement rembourser.

Vous n’avez aucune justification à nous donner.

Mais ce n’est pas tout. Je vous propose la garantie x10, qui n’existe nulle part ailleurs.

Si la performance moyenne des recommandations que vous recevrez pendant votre première année n’est pas au moins 10 fois supérieure à celle du Livret A français (2%), je vous offre une deuxième année d’abonnement.

En clair : si la performance des 12 actions de l’année ne dépasse pas 20%, vous avez une deuxième année offerte.

20%, c’est beaucoup moins que les 113% de 2020… Mais on n’est jamais à l’abri d’un retournement de marché, alors cette garantie vous couvre face à une éventuelle sous-performance.

Voici comment ça va se passer

Il vous suffit de cliquer sur n’importe quel bouton de cette page.

Vous arrivez sur notre bon de commande, où vous indiquez vos coordonnées et vos informations de paiement (nos systèmes sont ultra-sécurisés).

Vous validez l’abonnement, et vous arriverez sur une page de confirmation.

Quelques minutes plus tard, vous recevrez un mail de confirmation qui contient tous vos cadeaux :

Dans un second e-mail, vous recevrez un message avec votre accès privé au site Profits Asymétriques, qui abrite le portefeuille complet avec toutes les recommandations passées, ainsi que tous vos dossiers.

Enfin, chaque mois, vous recevrez un dossier avec l’analyse complète d’une action tech ultra-prometteuse.

Tout ça pour 98€ seulement.

Je crois que vous savez tout.

Je me réjouis de vous compter parmi les clients de Profits Asymétriques, et de vous voir réaliser d’énormes gains avec le supercycle des matières premières !

Amicalement,

Marc Schneider